© Christian Louis www.christian-louis.com
Peintures de Marcel HASQUIN
samedi 1 avril 2023 9h
Peintures de Marcel HASQUIN
"VOICI L'HOMME" - EXPOSITION de PEINTURES

L'exposition continue ... ouverte tous les jours de 9h à 18h

« Voici l’homme » est le titre choisi par le peintre Marcel Hasquin pour l’Ensemble de 15 tableaux exposés dans l’église Saint Martin d’Aubigny-sur-Nère. Cet Ensemble est exposé pour la seconde fois, la première exposition ayant eu lieu en 2006 à l’église de la Madeleine à Paris.

Patrice Garnier de la Galerie d'art de Chavignol à propos de l'exposition : "Ténèbres, mot terrible, mais qui renvoi à la lumière et à l'univers des peintres : du clair obscur du Caravage, ou des noirs-lumières de Soulage, jusqu'à l'œuvre de Marcel Hasquin ou ténèbres et lumière se manifestent avec une intensité dramatique : pas de ciel, pas de perspectives, mais cerné d'un trait continu, des corps irradiés d'une lumière spirituelle intense. ... Mais Marcel ne serait-il pas un simple pèlerin, témoin de la passion, marqué par les stigmates de cette rencontre et qui reproduit son expérience spirituelle dans une sorte de tradition renouvelée es retables des peintres flamands ?"

Chaque visiteur est invité à se laisser porter par le trait et les couleurs de Marcel Hasquin, à vraiment s’attarder devant chaque tableau dont l’éclairage varie en fonction de la lumière du matin ou de l’après-midi.

Youtube à propos de l'exposition commune Marcel Hasquin - Marc Petit ;
Site sur Marcel Hasquin ;
Site de la critique Jeanine Rivais
Marcel Hasquin préparant l'exposition commune à L'UNESCO avec Akeji et Rachid Koraïchi

Marcel Hasquin est né en 1943 en Belgique wallonne. Son père, tailleur de pierre, souvent malade, la famille de neuf enfants manquait de revenus. Malgré cela, sa mère a réussi à faire vivre sa famille avec dignité et amour. Le décès de deux enfants de sa fratrie marquera Marcel. Dès l’âge de sept ans, Marcel souhaite être dessinateur. Il maintiendra le cap malgré l'adversité et sa déception de l’école d’art où il étudie trois ans. Puis pour raison financière, il étudie la dinanderie, puis l’architecture mais sans passion. Après des années difficiles en Belgique et n’arrivant pas à vivre de sa peinture, à trente-trois ans, il se rend en France pour « rencontrer de vrais artistes » mais, comme tant d’autres, il ne trouve pas ce qu’il espérait. Pour gagner sa vie et subvenir à sa famille, Marcel s’engage dans une entreprise de restauration de monuments. Mais ne trouvant plus le temps de peindre, il décide d'arrêter ce travail et de peindre ce qu’il a à cœur de peindre. Depuis lors il ne va plus cesser de peindre. En 1991, sa rencontre avec Didier Benesteau, scénographe et organisateur d’exposition auprès duquel il trouve un soutien indéfectible, marque un tournant. Les expositions organisées par Didier vont faire connaitre son œuvre. Marcel Hasquin a exposé en France, Autriche, Belgique, Portugal, Espagne, Italie, Monaco, USA et Canada.

L'exposition continue ... ouverte tous les jours de 9h à 18h

« Voici l’homme » est le titre choisi par le peintre Marcel Hasquin pour l’Ensemble de 15 tableaux exposés dans l’église Saint Martin d’Aubigny-sur-Nère. Cet Ensemble est exposé pour la seconde fois, la première exposition ayant eu lieu en 2006 à l’église de la Madeleine à Paris.

Patrice Garnier de la Galerie d'art de Chavignol à propos de l'exposition : "Ténèbres, mot terrible, mais qui renvoi à la lumière et à l'univers des peintres : du clair obscur du Caravage, ou des noirs-lumières de Soulage, jusqu'à l'œuvre de Marcel Hasquin ou ténèbres et lumière se manifestent avec une intensité dramatique : pas de ciel, pas de perspectives, mais cerné d'un trait continu, des corps irradiés d'une lumière spirituelle intense. ... Mais Marcel ne serait-il pas un simple pèlerin, témoin de la passion, marqué par les stigmates de cette rencontre et qui reproduit son expérience spirituelle dans une sorte de tradition renouvelée es retables des peintres flamands ?"

Chaque visiteur est invité à se laisser porter par le trait et les couleurs de Marcel Hasquin, à vraiment s’attarder devant chaque tableau dont l’éclairage varie en fonction de la lumière du matin ou de l’après-midi.

Youtube à propos de l'exposition commune Marcel Hasquin - Marc Petit ;
Site sur Marcel Hasquin ;
Site de la critique Jeanine Rivais
Marcel Hasquin préparant l'exposition commune à L'UNESCO avec Akeji et Rachid Koraïchi

Marcel Hasquin (...) Afficher +

L'Ensemble vocal Passiflora avec Ilyès Bouyenzar et Benoît Dugas
samedi 1 avril 2023 15h30
L'Ensemble vocal Passiflora avec Ilyès Bouyenzar et Benoît Dugas
Leçons de Ténèbres - composition de 2021

Concert - Vernissage de l'exposition "Voici l'homme".

Pour écouter un extrait du concert

Création contemporaine par Ilyès Bouyenzar (19 ans) et Benoît Dugas, compositeur expérimenté, ces “Leçons de Ténèbres” renouent, entre continuité et innovation, avec un genre musical liturgique ancien né durant la Renaissance et qui vit son apogée dans la France du XVII-XVIIIème.

Le jeune compositeur et chef de chœur Ilyès Bouyenzar a fait sensation auprès du public dont une partie venait de loin, par la vigueur, la variété et la profondeur de sa composition.
Tout les auditeurs pensent qu'Ilyès a un avenir incroyable devant lui car personne n'a rencontré un tel talent de cet âge.
A suivre donc .

Les "Leçons de Ténèbres" sont un genre musical liturgique créé en France au XVIIe siècle et destiné aux offices des Ténèbres soit le Jeudi Saint, soit le Vendredi Saint ou le Samedi Saint. Ces trois jours pendant lesquels l'Eglise commémore la Cène, la Passion du Christ et sa descente aux enfers, les trois offices de la nuit – qui s'appellent le reste de l'année Matines ou Vigiles – sont appelés Offices des Ténèbres. Ils revêtent un caractère de deuil, de tristesse et de douleur : chaque lecture, prière ou chant évoque la Passion du Christ et ses échos dans l'Ancien Testament.
La coutume anticipait ces offices matinaux la veille au soir, chacun devait commencer de manière à finir après le coucher du soleil, d'où le nom de « Ténèbres ». Au cœur du premier nocturne de chaque office sont chantés les Lamentations de Jérémie et les Répons des Ténèbres. Ce sont ces textes qui donneront naissance en France à la forme musicale « Leçons de Ténèbres » (Lamentations + Répons) sous Louis XIII. La formule inédite se définit par le caractère ambigu de cette musique religieuse, à la fois austère et sophistiquée.

Concert - Vernissage de l'exposition "Voici l'homme".

Pour écouter un extrait du concert

Création contemporaine par Ilyès Bouyenzar (19 ans) et Benoît Dugas, compositeur expérimenté, ces “Leçons de Ténèbres” renouent, entre continuité et innovation, avec un genre musical liturgique ancien né durant la Renaissance et qui vit son apogée dans la France du XVII-XVIIIème.

Le jeune compositeur et chef de chœur Ilyès Bouyenzar a fait sensation auprès du public dont une partie venait de loin, par la vigueur, la variété et la profondeur de sa composition.
Tout les auditeurs pensent qu'Ilyès a un avenir incroyable devant lui car personne n'a rencontré un tel talent de cet âge.
A suivre donc .

Les "Leçons de Ténèbres" sont un genre musical liturgique créé en France au XVIIe siècle et destiné aux offices des Ténèbres soit le Jeudi Saint, soit le Vendredi Saint ou le Samedi Saint. Ces trois jours pendant lesquels l'Eglise commémore la Cène, la Passion du Christ et sa descente aux enfers, les trois offices de la nuit – qui s'appellent le reste de l'année Matines ou Vigiles – sont appelés Offices des Ténèbres. Ils revêtent un caractère de deuil, de tristesse et de douleur : chaque lecture, prière ou chant évoque la Passion du Christ et ses échos dans l'Ancien Testament.
La coutume anticipait ces offices matinaux la veille au soir, chacun devait commencer de manière à finir après le coucher du soleil, d'où le nom de « Ténèbres ». Au cœur du premier nocturne de chaque office (...) Afficher +

Le Chant des Volutes
dimanche 30 avril 2023 18h
Le Chant des Volutes
Musique baroque

Un merveilleux concert de musique anglaise du 17ème siècle dans un cadre parfaitement adapté par l'Ensemble instrumental et vocal, le Chant des Volutes, avec Bérengère Maillard, violon baroque (Fondatrice de l’Ensemble et se produisant avec des formation comme les Arts Florissants (W. Christie), Le Concert d’Astrée (E. Haïm), La Grande Ecurie et la Chambre du Roy (J.C. Malgoire), Le Concert Français (Pierre Hantaï), l’Amsterdam Baroque Orchestra (Ton Koopman), Il Seminario musicale (G. Lesne) etc..), Marjolaine Cambon, violes, Igor Bouin, baryton et Etienne Galletier, théorbe & guitare baroque

La chapelle du château de La Verrerie était comble. Photo cr Pierre Mérat

Un merveilleux concert de musique anglaise du 17ème siècle dans un cadre parfaitement adapté par l'Ensemble instrumental et vocal, le Chant des Volutes, avec Bérengère Maillard, violon baroque (Fondatrice de l’Ensemble et se produisant avec des formation comme les Arts Florissants (W. Christie), Le Concert d’Astrée (E. Haïm), La Grande Ecurie et la Chambre du Roy (J.C. Malgoire), Le Concert Français (Pierre Hantaï), l’Amsterdam Baroque Orchestra (Ton Koopman), Il Seminario musicale (G. Lesne) etc..), Marjolaine Cambon, violes, Igor Bouin, baryton et Etienne Galletier, théorbe & guitare baroque

La chapelle du château de La Verrerie était comble. Photo cr Pierre Mérat

Quatuor Tchalik
samedi 8 juillet 2023 19h
Quatuor Tchalik
de retour après les émotions musicales de 2020 et 2022

Le Quatuor Tchalik a donné pour la troisième fois un concert exceptionnel dans l'église de Sury-ès-Bois dont l'acoustique est si bien adapté au quatuor à cordes.

L'équilibre entre les instruments des quatre frères et sœurs et l'énergie avec laquelle ils jouent sans perdre aucune subtilité ont profondément ému le public qui aurait bien voulu d'autres bis.

Programme :

Mozart - Adagio et Fugue K.546
Lyatoshynsky - Quatuor n.2 op 4
Mendelssohn - Tema con variazioni, et Capriccio de l'opus 81
Ravel - Quatuor en fa

Le Quatuor Tchalik a donné pour la troisième fois un concert exceptionnel dans l'église de Sury-ès-Bois dont l'acoustique est si bien adapté au quatuor à cordes.

L'équilibre entre les instruments des quatre frères et sœurs et l'énergie avec laquelle ils jouent sans perdre aucune subtilité ont profondément ému le public qui aurait bien voulu d'autres bis.

Programme :

Mozart - Adagio et Fugue K.546
Lyatoshynsky - Quatuor n.2 op 4
Mendelssohn - Tema con variazioni, et Capriccio de l'opus 81
Ravel - Quatuor en fa

La clarinettiste Rozenn LE TRIONNAIRE & Percussionniste & Joueur de Cornemuse
vendredi 14 juillet 2023 15h
La clarinettiste Rozenn LE TRIONNAIRE & Percussionniste & Joueur de Cornemuse
Musique écossaise

FESTIVAL OFF

Photo par Pierre Mérat

Dans le cadre des Journées Franco-Écossaises d'Aubigny-sur-Nère, car l'histoire du château de La Verrerie est intimement liée à celle d'Aubigny, les deux châteaux ayant été construits par la famille écossaise des Stuart dans leur fief d'Aubigny dont nous fêtons les 600 ans en 2023.

Plus de 600 personnes ont écouté trois jeunes artistes, Rozenn Le Trionnaire (clarinettiste connue et particulièrement appréciée des auditeurs du Festival de Boucard qui ont pu l'entendre en 2020 et 2022), Martin Tilly à la cornemuse et Brendan Noury aux percussions, tous deux bretons nés en 2000 et 2001 et membres du bagad "Kevrenn Alre".

Les musiques écossaise et bretonne ont raisonné dans le cadre enchanteur de la cour du château. Ce sera un moment inoubliable.

FESTIVAL OFF

Photo par Pierre Mérat

Dans le cadre des Journées Franco-Écossaises d'Aubigny-sur-Nère, car l'histoire du château de La Verrerie est intimement liée à celle d'Aubigny, les deux châteaux ayant été construits par la famille écossaise des Stuart dans leur fief d'Aubigny dont nous fêtons les 600 ans en 2023.

Plus de 600 personnes ont écouté trois jeunes artistes, Rozenn Le Trionnaire (clarinettiste connue et particulièrement appréciée des auditeurs du Festival de Boucard qui ont pu l'entendre en 2020 et 2022), Martin Tilly à la cornemuse et Brendan Noury aux percussions, tous deux bretons nés en 2000 et 2001 et membres du bagad "Kevrenn Alre".

Les musiques écossaise et bretonne ont raisonné dans le cadre enchanteur de la cour du château. Ce sera un moment inoubliable.

Maxence Pilchen
samedi 22 juillet 2023 20h45
Maxence Pilchen
Piano - Chopin

Notre directeur artistique, reconnu par Philippe Cassard comme "l'un des plus remarquables interprètes français de Chopin", a donné un concert acclamé par une "standing ovation" du public.

Débutant très jeune le piano, Maxence Pilchen (en photo par Pierre Mérat) a été primé dès l’âge de onze ans au concours télévisé des jeunes solistes de la RTBF de Bruxelles. Il a étudié auprès de grandes personnalités, comme Bernard Ringeissen à Paris, Janusz Olejniczack à Varsovie et bénéficie aux États-Unis de l’enseignement du très fameux pianiste Byron Janis avec qui il a joué à New York en 2015. Maxence donne des concerts régulièrement et a sorti des CD.

Le concert donné dans la grande galerie du château de La Verrerie a fait redécouvrir des œuvres connues de Chopin comme si on les écoutait pour la première fois. Maxence a joué avec une précision extraordinaire nous entrainant dans des sommets avec une perfection admirable. C'était un vrai projet que Maxence a partagé avec les auditeurs du Festival.

Programme: Frédéric Chopin

Grande Polonaise Brillante précédée d’un Andante Spianato op.22
Ballade op.23
Ballade op.38
Ballade op.47
Ballade op.52
Polonaise op.53 « Héroïque »

Notre directeur artistique, reconnu par Philippe Cassard comme "l'un des plus remarquables interprètes français de Chopin", a donné un concert acclamé par une "standing ovation" du public.

Débutant très jeune le piano, Maxence Pilchen (en photo par Pierre Mérat) a été primé dès l’âge de onze ans au concours télévisé des jeunes solistes de la RTBF de Bruxelles. Il a étudié auprès de grandes personnalités, comme Bernard Ringeissen à Paris, Janusz Olejniczack à Varsovie et bénéficie aux États-Unis de l’enseignement du très fameux pianiste Byron Janis avec qui il a joué à New York en 2015. Maxence donne des concerts régulièrement et a sorti des CD.

Le concert donné dans la grande galerie du château de La Verrerie a fait redécouvrir des œuvres connues de Chopin comme si on les écoutait pour la première fois. Maxence a joué avec une précision extraordinaire nous entrainant dans des sommets avec une perfection admirable. C'était un vrai projet que Maxence a partagé avec les auditeurs du Festival.

Programme: Frédéric Chopin

Grande Polonaise Brillante précédée d’un Andante Spianato op.22
Ballade op.23
Ballade op.38
Ballade op.47
Ballade op.52
Polonaise op.53 « Héroïque »

Ensemble vocal Jacques Moderne dirigé par Joël Suhubiette
jeudi 27 juillet 2023 19h
Ensemble vocal Jacques Moderne dirigé par Joël Suhubiette
Musique anglaise du 16ème siècle

Un grand concert de musique anglaise du 16ème siècle par l’Ensemble Jacques Moderne fondé en 1973 et dirigé depuis 30 ans par Joël Suhubiette dans la Petite Cathédrale du Pays-Fort transformé ce soir là en une petite Westminster !

Programme :

ANTHEMS de Thomas Tallis (1505-1585)
THE TEARES OR LAMENTACIONS OF A SORROWFULL SOULE de William Byrd (1538-1623)
MOTETS de William Byrd et Thomas Tallis
THE TEARES OR LAMENTACIONS OF A SORROWFULL SOULE d'Orlando Gibbons (1583-1625), John Wilbye (1574-1638) et John Dowland (1563-1626)
LAMENTATIONS de Robert White (1538-1574)
ANTHEMS de Thomas Tallis

Un grand concert de musique anglaise du 16ème siècle par l’Ensemble Jacques Moderne fondé en 1973 et dirigé depuis 30 ans par Joël Suhubiette dans la Petite Cathédrale du Pays-Fort transformé ce soir là en une petite Westminster !

Programme :

ANTHEMS de Thomas Tallis (1505-1585)
THE TEARES OR LAMENTACIONS OF A SORROWFULL SOULE de William Byrd (1538-1623)
MOTETS de William Byrd et Thomas Tallis
THE TEARES OR LAMENTACIONS OF A SORROWFULL SOULE d'Orlando Gibbons (1583-1625), John Wilbye (1574-1638) et John Dowland (1563-1626)
LAMENTATIONS de Robert White (1538-1574)
ANTHEMS de Thomas Tallis

Chrystelle Di MARCO, soprano, Armaz DARASHVILI, ténor, Orchestre In Paradisum
samedi 29 juillet 2023 19h
Chrystelle Di MARCO, soprano, Armaz DARASHVILI, ténor, Orchestre In Paradisum
Joyaux de l’Opéra italien

Joyaux de l'opéra italien par la soprano franco-sicilienne Chrystelle Di Marco et le ténor géorgien Armaz Darashvili, accompagnés de l’orchestre In Paradisum (10 instruments) dirigé par Emmanuel Descol

Deux témoignages d'auditeurs :
"Ce message pour vous dire combien nous avons apprécié la soirée à Concressault.
Les artistes étaient formidables, le choix des morceaux était parfait y compris pour des novices...
Quant à la chanteuse et le ténor , non seulement ils ont fait notre bonheur mais.... ils semblaient si heureux de chanter ensemble !!
Un grand moment
Dans cette église compacte mais haute qui permet un son même ample. Bon choix."

"Hier soir dans l'église de Concressault, des voix magnifiques et d'une puissance à faire trembler les vitraux. Une mention particulière à l'orchestre ainsi qu'à son chef tant pour la présentation des œuvres que pour sa direction."

Programme :

Recondita armonia – Tosca de Puccini
Vissi d’arte – Tosca de Puccini
E lucevan le stelle – Tosca de Puccini
Mario mario – Tosca de Puccini
Intermezzo Cavalleria Rusticana - instruments uniquement
La mamma morta – Andrea Chénier de Giordano
Addio fiorito asil – Madama Butterfly de Puccini
Casta Diva – Norma de Bellini
Nessun dorma – Turandot de Puccini
Ah forse lui… sempre libera - La Traviata de Verdi
Brindisi – La Traviata de Verdi

Joyaux de l'opéra italien par la soprano franco-sicilienne Chrystelle Di Marco et le ténor géorgien Armaz Darashvili, accompagnés de l’orchestre In Paradisum (10 instruments) dirigé par Emmanuel Descol

Deux témoignages d'auditeurs :
"Ce message pour vous dire combien nous avons apprécié la soirée à Concressault.
Les artistes étaient formidables, le choix des morceaux était parfait y compris pour des novices...
Quant à la chanteuse et le ténor , non seulement ils ont fait notre bonheur mais.... ils semblaient si heureux de chanter ensemble !!
Un grand moment
Dans cette église compacte mais haute qui permet un son même ample. Bon choix."

"Hier soir dans l'église de Concressault, des voix magnifiques et d'une puissance à faire trembler les vitraux. Une mention particulière à l'orchestre ainsi qu'à son chef tant pour la présentation des œuvres que pour sa direction."

Programme :

Recondita armonia – Tosca de Puccini
Vissi d’arte – Tosca de Puccini
E lucevan le stelle – Tosca de Puccini
Mario mario – Tosca de Puccini
Intermezzo Cavalleria Rusticana - instruments uniquement
La mamma morta – Andrea Chénier de Giordano
Addio fiorito asil – Madama Butterfly de Puccini
Casta Diva – Norma de Bellini
Nessun dorma – Turandot de Puccini
Ah forse lui… sempre libera - La Traviata de Verdi
Brindisi – La Traviata de Verdi

Le clarinettiste Pierre Génisson      &      le pianiste David Bismuth
mercredi 2 août 2023 20h45
Le clarinettiste Pierre Génisson & le pianiste David Bismuth
19éme et 20éme - découverte

De l'un de nos auditeurs : "Quel concert! Etions-nous à bord du Santiago dont le grément claquait furieusement ? Magellan n'était pourtant pas à la barre et c'est bien nos deux capitaines, imperturbables face aux éléments, qui l'ont tenue l'un sachant dompter le vent avec son instrument, forte et délicate clarinette; l'autre droit devant son imposant piano tel une figure de proue bravant la tempête. Et leurs notes se glissèrent vaillamment entre les drisses métalliques, les voiles battantes, les vagues successives, gardant le cap et la mesure, pour nous offrir ces sonates variées, ondoyantes et parfaitement maîtrisées. Bravo à eux et longue vie au Festival!"

En effet, la tempête battait son plein pendant le concert.

et d'un jeune auditeur : "Quel spectacle nous ont offert Pierre Génisson et David Bismuth !
Chaudement abritées par les larges toiles de la Grande Galerie du majestueux Château de la Verrerie, nos oreilles ont pu se reposer sur cette mélodie apaisante qui contrastait avec la nuit agitée que le vent, qui soufflait à pleins poumons sur notre chère terre berrichonne, s'était accaparée.
La nature aérienne de la clarinette de Génisson apportait la légèreté au piano de Bismuth, et le caractère plus rustique du piano suscitait ce côté terre-à-terre que ne pouvait atteindre la clarinette, et qui est, peut-être, plus accessible aux simples humains que nous sommes. Tout ceci formait alors un mélange d'une essence inconnue située quelque part entre le ciel et la terre.
Le piano semblait agir comme un métronome qui venait encadrer la clarinette pour éviter qu'elle se perde, tel un père qui montre à son fils le droit chemin avec tout le génie de son expérience. Mais la folie de la clarinette permettait au piano de sortir de sa zone de confort pour être emportée vers d'autres contrées, jamais visitées auparavant, et de se libérer du terrible fardeau qu'est la monotonie. Ce lien d'interdépendance entre la maturité du piano de Bismuth et l'insouciance de la clarinette de Génisson, particulièrement visible pendant les accords de l'Allegro con fuoco de Poulenc, sonnait le glas de la distinction souvent faite entre les deux instruments. En effet, les deux sons se mariaient si bien ensemble que nous étions perplexes quant à la provenance de la mélodie, si celle-ci ne sortait que de la clarinette, ou du piano, mais en tout cas certainement pas des deux !
Tout cela pour conclure que cette escapade musicale était réussie, le public était au rendez-vous, la salle aussi somptueuse que l'était cette orgie auditive, et, pour finir sur un jeu de mots, les deux artistes, fidèles à leur amitié fusionnelle, ont agi de concert pour à la fois éveiller nos sens, ... et pour les perdre !"

Pierre Génisson, l’un des meilleurs représentants de sa génération de l’école des vents français et David Bismuth, l’un des dix pianistes français les plus doués de sa génération, ont bien reformé leur duo exceptionnel ce soir du 2 aout pour jouer :

Saint-Saëns : Sonate Op167
Schumann : 3 Fantaisiestücke Op73
Brahms : Sonate en mi b Majeur Op120 n.2
Poulenc : Sonate

De l'un de nos auditeurs : "Quel concert! Etions-nous à bord du Santiago dont le grément claquait furieusement ? Magellan n'était pourtant pas à la barre et c'est bien nos deux capitaines, imperturbables face aux éléments, qui l'ont tenue l'un sachant dompter le vent avec son instrument, forte et délicate clarinette; l'autre droit devant son imposant piano tel une figure de proue bravant la tempête. Et leurs notes se glissèrent vaillamment entre les drisses métalliques, les voiles battantes, les vagues successives, gardant le cap et la mesure, pour nous offrir ces sonates variées, ondoyantes et parfaitement maîtrisées. Bravo à eux et longue vie au Festival!"

En effet, la tempête battait son plein pendant le concert.

et d'un jeune auditeur : "Quel spectacle nous ont offert Pierre Génisson et David Bismuth !
Chaudement abritées par les larges toiles de la Grande Galerie du majestueux Château de la Verrerie, nos oreilles ont pu se reposer sur cette mélodie apaisante qui contrastait avec la nuit agitée que le vent, qui soufflait à pleins poumons sur notre chère terre berrichonne, s'était accaparée.
La nature aérienne de la clarinette de Génisson apportait la légèreté au piano de Bismuth, et le caractère plus rustique du piano suscitait ce côté terre-à-terre que ne pouvait atteindre la clarinette, et qui est, peut-être, plus accessible aux simples humains que nous sommes. Tout ceci formait alors un mélange d'une essence inconnue située quelque part entre le ciel (...) Afficher +

Cor des Alpes
dimanche 20 août 2023 15h
Cor des Alpes
Alexandre Jous et Etienne Sibille

Les artistes Alexandre Jous et Etienne Sibille ont surpris le public en jouant du Cor des Alpes au pied des silos de Barlieu peints par Claude Pasquer en 2022 grâce à l'association Allons Voir.

Musiciens formés par la grande école classique, ils ont joué différentes musiques adaptées à ce cadre déroutant et malgré une chaleur forte.

Claude Pasquer né en 1937 vit et travaille à Morogues (Cher). Influencé depuis les années 1960 par l’art concret et cinétique, Il y puise son langage plastique fait d’exploration de la géométrie et de jeux. Puis il s'engage sur des recherches faites de découpages et de collages. Il développe alors une production picturale basée sur un réseau de lignes verticales et de subdivisions soutenues par un schéma numérique préétabli guidé par des principes de permutation, répétition et translation.

Les artistes Alexandre Jous et Etienne Sibille ont surpris le public en jouant du Cor des Alpes au pied des silos de Barlieu peints par Claude Pasquer en 2022 grâce à l'association Allons Voir.

Musiciens formés par la grande école classique, ils ont joué différentes musiques adaptées à ce cadre déroutant et malgré une chaleur forte.

Claude Pasquer né en 1937 vit et travaille à Morogues (Cher). Influencé depuis les années 1960 par l’art concret et cinétique, Il y puise son langage plastique fait d’exploration de la géométrie et de jeux. Puis il s'engage sur des recherches faites de découpages et de collages. Il développe alors une production picturale basée sur un réseau de lignes verticales et de subdivisions soutenues par un schéma numérique préétabli guidé par des principes de permutation, répétition et translation.

Mikrokosmos
samedi 23 septembre 2023 17h
Mikrokosmos
Le Jour m'étonne

Mikrokosmos, qu'on ne présente plus, a donné un concert si merveilleusement adapté au lieu, l'église Saint Aignan d'Ivoy-le-Pré avec sa nef unique, large et haute.

« Le Jour m’étonne », le dernier opus de la tétralogie du Chœur Mikrokosmos
lancée en 2013 avec « La Nuit Dévoilée », a été un succès acclamé par le public
enthousiasmé et impressionné par ce concert sans interruption de plus d'une heure.

Les 40 choristes chantaient par cœur et par le cœur dirigés avec précision et vigueur par Loïc Pierre. Ils nous ont entrainé dans une haute élévation avec rythme et en nous surprenant.

Un concert mémorable !

Mikrokosmos, qu'on ne présente plus, a donné un concert si merveilleusement adapté au lieu, l'église Saint Aignan d'Ivoy-le-Pré avec sa nef unique, large et haute.

« Le Jour m’étonne », le dernier opus de la tétralogie du Chœur Mikrokosmos
lancée en 2013 avec « La Nuit Dévoilée », a été un succès acclamé par le public
enthousiasmé et impressionné par ce concert sans interruption de plus d'une heure.

Les 40 choristes chantaient par cœur et par le cœur dirigés avec précision et vigueur par Loïc Pierre. Ils nous ont entrainé dans une haute élévation avec rythme et en nous surprenant.

Un concert mémorable !